La protection incendie en entreprise : de quoi s’agit-il ?

Vous pouvez vous faire aider par ce type d’entreprise pour construire cette protection incendie. Ce concept comprend tous les éléments qui peuvent assurer la sécurité en cas d’incendie dans une entreprise ou un bâtiment accueillant du public. Le but de cette protection est de protéger non seulement les biens, mais surtout les personnes.

Parmi les protections incendie, il y a les dispositifs qui permettent :
– d’éteindre le feu,
– de limiter sa propagation,
– et d’aider les salariés et le public à évacuer les lieux en toute sécurité.

Les contrôles et maintenances, ainsi que la mise aux normes incendie, font également partie de la protection incendie. En somme, la protection incendie en entreprise comprend tous les dispositifs et installations mis en place pour garantir la sécurité en cas d’incendie.

Les différentes protections incendie en entreprise

Il existe plusieurs types de protections incendie, tels que les extincteurs (à eau, à poudre, à CO2 et sur roues). Il y a aussi les dispositifs mis en place pour évacuer le public, comme les plans d’évacuation, les itinéraires d’évacuation et les consignes de sécurité. En outre, il y a les signalétiques (blocs de sécurité BAES ou BAEH) et les systèmes de désenfumage.

La lutte contre les incendies est cruciale. En conséquence, les mesures de protection contre les incendies sont réglementées par la loi et sont obligatoires. Selon la législation en vigueur, tout établissement accueillant des salariés et/ou du public doit obligatoirement mettre en place des mesures de protection incendie.

Le recours à un professionnel

Il est recommandé de faire appel à un professionnel pour assurer la protection incendie de votre entreprise en Île-de-France. Soyez rigoureux dans son choix. Il est important de respecter les réglementations et normes en vigueur en matière de protection incendie, que ce soit pour l’installation, les vérifications ou la maintenance. Seul un expert les connaît sur le bout des doigts.

Par ailleurs, un professionnel spécialisé dans la protection incendie peut vous proposer d’autres prestations, comme :
– un audit de sécurité,
– l’évaluation de vos besoins en matière de protection incendie,
– la création d’un cahier des charges.

Il met votre entreprise en conformité avec les normes incendie. Il est en mesure de vous fournir divers équipements de protection incendie, tels que des extincteurs, des signalétiques et d’autres éléments. En outre, un professionnel vous aide à établir des plans d’évacuation et de gestion d’incendie pour votre entreprise.

Si vous êtes à la recherche d’un expert en lutte contre les incendies en Île-de-France, n’hésitez pas à faire appel à un professionnel qualifié.

Moment délicat

Chaque entretien d’embauche est toujours un moment délicat, aussi bien pour le candidat que pour le recruteur. Alors, que devez-vous dire ou plutôt quelles questions poser pour mieux connaître le candidat en face de vous, au-delà de son CV ? Vous ne disposez que d’un laps de temps assez court pour vous faire une idée plus ou moins complète du candidat, il vaut mieux donc poser les bonnes questions. Premièrement, demandez-lui de vous parler de son CV, notamment ses expériences et les projets qu’il a menés, et réussis, ou pas. Insistez sur les zones où il n’y a pas trop de détails dans son CV, vous obtiendrez peut-être des informations pertinentes.

Des questions importantes

Demandez également à vos candidats ce qui les passionne le plus, cela pour avoir des informations personnelles et spontanées. Laissez tomber les questions du type : « Avez-vous des compétences de leadership ? » ou « Donnez des exemples de qualités recherchées chez un manager ? ». Il vaut mieux les interroger sur eux-mêmes, cela vous donnera une image plus nette de ce qu’ils sont véritablement et vous permettra de voir à l’avance comment ils se comporteront au travail. Posez également cette question : « Pour vous, comment doit être un patron idéal ? » Souvent, les réponses sont honnêtes et vous saurez alors quelles sont leurs attentes par rapport à leur chef hiérarchique.

Comprendre le but d’une formation

Avant de lancer le planning, le formateur doit d’abord se rappeler des objectifs attendus d’une formation afin de satisfaire les besoins de l’entreprise. En outre, la formation est une opportunité pour les individus au sein d’une organisation d’augmenter leurs compétences afin de renforcer leurs compétences et devenir plus compétitifs. Dans cette optique, le formateur doit tenir compte de la motivation de chaque stagiaire pour qu’il puisse réellement évoluer après avoir suivi le programme. Le formateur ne doit dont pas s’arrêter à des objectifs pédagogiques, il doit se baser sur les enjeux et les objectifs connexes qui peuvent impacter la vie de l’entreprise. Sur ce point, le formateur doit prendre en compte 4 types d’objectifs.

Les objectifs principaux d’un programme de formation

Dans l’analyse des besoins du commanditaire, le formateur doit tenir compte de l’objectif stratégique c’est-à-dire l’impact global attendu à l’issue de la formation. Il doit également évaluer l’objectif opérationnel pour comprendre les volets de compétences qui nécessitent une mise à jour, les freins qui ne permettent pas aux employés d’exploiter leur plein potentiel. Le formateur doit également réfléchir à l’objectif pédagogique, c’est-à-dire ce que les aptitudes que les formés auront acquis et dont ils pourraient appliquer en temps réel au sein de leurs fonctions. Si le professionnel prend le temps d’analyser ces objectifs, il pourra proposer un plan de formation qui convaincra le responsable des ressources humaines.

Tenir compte de la relation tripartite

Pour qu’une action de formation soit réussie, le formateur ne doit pas perdre de vue la relation avec les principaux concernés, à savoir le commanditaire ou le responsable des ressources humaines et les employés bénéficiaires de la formation. De là nait trois types de relation, à savoir le lien entre le formateur et le décideur, le lien entre le formateur et les participants ainsi que le rapport entre le commanditaire et les participants. Tous ces liens vont jouer sur la concrétisation, le bon déroulement et l’effectivité du programme de formation. Ainsi, l’attente de chacun doit toujours être au centre de toutes les décisions, quitte à revoir le contenu de la formation pour répondre aux besoins collectifs.

Établir un dossier d’étude de la formation

Toutes ces étapes de réflexion doivent faire l’objet d’un dossier d’analyse qui décrit de manière succincte l’impact de la formation, le profil des participants, leurs motivations, le contenu et les modalités de la formation, ainsi que toutes les questions logistiques nécessaires à l’accomplissement du programme. Une fois que tous ces points seront soulevés, il sera plus facile d’établir le cahier des charges pour exécuter le planning.

Manager des collègues plutôt dangereux

Dans la pratique, ce n’est pas évident. Par exemple, un manipulateur au sein de son équipe, c’est un véritable poison, ni plus ni moins. Tout ce qui motive ce type de personnage, c’est l’ambition et la soif de pouvoir. Il va donc tout faire, quitte à écraser tout le monde sur son passage, pour arriver à ses fins et va user de son charme comme de différents subterfuges pour s’attirer la sympathie ou le respect des autres. Le manager doit se montrer ferme et concis avec lui, n’entretenir aucune familiarité avec lui et surtout ne montrer aucune faille ou signe de faiblesse.

Et l’arrogant ?

Comment un manager doit-il agir face à un collaborateur connu pour son arrogance ? La tâche n’est pas aisée pour gérer cette personne qui aime fanfaronner et qui ne rate aucune occasion pour étaler son savoir et ses talents. Ce genre de collaborateur a un besoin immense de reconnaissance et d’être vu par les autres. Le manager doit donc utiliser cette soif en lui confiant assez de missions qu’il saura mener à bien, ce qui lui laissera peu de temps pour aller jouer les arrogants devant ses autres collègues. Il doit aussi se montrer reconnaissant envers lui lorsque cela s’avère opportun, et user peut-être d’humour quand le collaborateur en question ne peut se retenir de se mettre en avant.

Les questions auxquelles vous attendre

Un entretien se déroule généralement en face-à-face mais avec la situation sanitaire actuelle, il est possible que vous soyez convoqué pour un entretien téléphonique ou par vidéoconférence. Le recruteur vous posera des questions qui l’aideront à déterminer si vous êtes l’homme (ou la femme) de la situation, en l’occurrence, du poste proposé. Ces questions vont lui permettre de connaître le cheminement de votre raisonnement, d’avoir une idée de vos points forts comme de vos points faibles. D’autres lui donneront une idée de vos aspirations, de ce qui vous motive, etc.

Préparez-vous bien

Un recruteur vous posera des questions spécifiques, en relation directe avec le job proposé ou avec votre expérience professionnelle et il vous interrogera également sur des points classiques. Quoi qu’il en soit, que ce soit votre premier entretien ou le énième, une bonne préparation s’impose. Il vous demandera de parler de vous, première question en général, puis de parler de l’entreprise où vous postulez. Il vous questionnera sur les raisons qui vous poussent à vous intéresser au poste, et ensuite, sur le ou les projets que vous avez menés à bien et dont vous êtes fier. Vous devriez aussi exposer vos objectifs sur le plan professionnel, sur le long terme, et surtout, les raisons qui vous font penser que vous êtes le candidat idéal pour le poste proposé.

Principe et fonctionnement de l’assurance emprunteur

Pour mieux comprendre l’importance de ce type d’assurance, voici quelques informations importantes à savoir.

– Comment fonctionne l’assurance emprunteur ?

L’assurance emprunteur est un mode de sécurisation de votre crédit immobilier. En cas d’accident de la vie (qui peut survenir à tout moment), la compagnie d’assurance a la capacité de prendre votre place et d’effectuer le remboursement des échéances auprès d’un établissement bancaire. Le montant dépend du type de souscription que vous avez effectué.

Les causes fréquentes de l’incapacité de remboursement d’un prêt immobilier sont une invalidité à long terme, la perte d’emploi, un arrêt de travail dû à des problèmes de santé, etc. Les assurances proposent diverses garanties. Mais le plus important est que le capital emprunté doit être couvert au moins à 100 % sur les garanties obligatoires.

– Les risques couverts par l’assurance

Comme mentionné précédemment, l’assurance emprunteur n’est pas obligatoire. Mais tous les établissements financiers, surtout les banques l’exigent avant d’accorder un prêt immobilier à une personne. Celle-ci doit donner une garantie que le prêt sera toujours remboursé quoiqu’il arrive. En plus des garanties usuelles, l’emprunteur doit souscrire une assurance perte d’emploi. Celle-ci couvre les risques de licenciement que peut subir un salarié sous contrat à durée indéterminée. Si vous vous associez à une autre personne pour le prêt, chacun de vous a la possibilité d’assurer 100 % du montant emprunté. Cette démarche est assez sécuritaire pour chaque partie.

Par ailleurs, l’assurance emprunteur peut comprendre les garanties suivantes :

– l’assurance décès
– l’assurance PTIA
– l’assurance ITT
– l’assurance IPP
– l’assurance IPT

Utilité d’une assurance emprunteur

L’assurance emprunteur protège aussi bien l’emprunteur que l’organisme prêteur.

Elle donne la possibilité à l’emprunteur de pallier les risques de non-remboursement des échéances d’un prêt immobilier. Ainsi, en cas d’accident entraînant l’incapacité de l’emprunteur à rembourser son prêt, la compagnie d’assurance prend en charge le remboursement du capital restant. De ce fait, l’emprunteur ne verra pas ses biens saisis, car la banque sera sûre que les échéances seront payées en temps voulu.

Le choix de l’assurance emprunteur doit absolument être effectué à la suite de la validation de l’accord de financement effectué par la banque. Souvent, le délai entre l’octroi de l’assurance emprunteur et de la signature du contrat de prêt est assez court. De ce fait, vous n’avez pas le temps de voir les tenants et aboutissants. Donc, si vous voulez bénéficier d’une formule assez avantageuse, vous devez effectuer des recherches à l’avance afin que vous ayez le temps de voir celle qui vous convient. Eh oui, vous n’êtes pas obligé d’accepter l’assurance emprunteur proposée par votre banque. Vous avez la possibilité de souscrire une assurance emprunteur auprès d’une autre institution. L’important est que le contrat réponde aux besoins demandés par votre banque.

Les 3 premières parties de votre CV

Comme vous pouvez le voir sur ce modèle de CV design, la première partie de votre CV concerne vos informations personnelles et elle doit être inscrite tout en haut de la page, sur la gauche. C’est en quelque sorte l’introduction de votre CV qui présente votre personne, c’est-à-dire vos nom et prénom, votre adresse, vos coordonnées téléphoniques (fixe et mobile), votre adresse de messagerie, votre âge et une photo. Notez que la photo doit vous montrer sous votre plus beau jour. Elle doit être sobre, la plus professionnelle possible.

La seconde partie de votre CV met en valeur vos compétences. Autrement dit, c’est dans cette sélection que doit se trouver la force de votre candidature. Mais attention, utilisez toujours des phrases courtes et concises. N’oubliez pas de marquer des informations telles que les langues que vous comprenez, parlez, maîtrisez, les logiciels que vous avez déjà utilisés, etc.. Parfois, ce sont ces éléments qui feront toute la différence. Pour que cette partie soit encore plus pertinente aux yeux du recruteur, mettez en avant les compétences qui ont une relation directe avec le poste que vous visez.

En troisième place viennent vos expériences professionnelles, ce qui englobe les emplois précédents, les stages suivis, etc. Pour chaque emploi et stage, mentionnez l’intitulé du poste, le nom de l’entreprise, les missions menées à bien, les résultats obtenus et le nombre de mois ou d’années pendant lequel vous avez occupé ce poste.

Complétez votre CV

Votre CV ne serait pas complet si vous oubliez d’inscrire les études ou formations suivies ainsi que vos centres d’intérêt. Pour la partie études ou formations, précisez les écoles, collèges, universités ou instituts fréquentés, mais aussi les diplômes obtenus. Quant à la section centres d’intérêt, elle doit se trouver en dernière position, car ce sont des informations qui peuvent être utiles, mais pas les prioritaires. Indiquez quels sont vos activités sportives ou associatives et vos loisirs, les voyages effectués notamment à l’étranger, etc. Cette partie permet au recruteur de comprendre ce qui vous anime, ce qui vous inspire, vos passions, votre ouverture d’esprit, votre sociabilité, etc. Maintenant que vous avez rédigé toutes les parties de votre CV, imprimez-le pour juger du résultat. Le fait est que, parfois, le rendu est différent une fois sur papier. Pour être absolument sûr que vous n’avez commis aucune faute ou omis des renseignements importants, demandez à une personne de votre entourage qui s’y connaît de le lire et de vous signaler toute imperfection qui s’y serait glissée. Corrigez au besoin et envoyez !

Bien choisir la structure

Il existe sur le Net une multitude de modèles de lettres de motivation pouvant vous inspirer. Vous pouvez choisir le modèle qui vous plait. Mais selon les experts, la structure vous-moi-nous est la plus efficace. Ce modèle consiste dans un premier temps à parler des points qui vous ont attiré vers l’entreprise. Ensuite, vous devez parler de vos compétences en rapport avec les points que vous avez cités précédemment. Et enfin, vous pouvez expliquer pourquoi votre collaboration avec l’entreprise pourrait marcher.

Les détails auxquels il faut faire attention

Vous devez être conscient qu’une lettre de motivation est différente d’un CV. De ce fait, évitez de répéter bêtement les informations déjà visibles dans votre CV. Vous devez rédiger votre lettre de motivation avec soin et la relire en vue de rectifier toutes fautes qui seraient mal vues par les recruteurs. Par ailleurs, pour ne pas ennuyer le lecteur, ne faites pas de phrase ou une lettre trop longue. Vos phrases doivent être concises et ne pas dépasser deux lignes. Mais également, étant donné que la lettre de motivation est parfois lue en diagonale, arrangez-vous pour placer les mots-clés selon cette règle du vous-moi-nous.

Prendre soin du dernier paragraphe

L’objectif du dernier paragraphe doit être d’inciter le recruteur à vous proposer un entretien d’embauche. Pour cela, vous pouvez par exemple, faire sous-entendre le fait que vous avez bien plus à dire sur les sujets que vous avez évoqués précédemment dans la lettre. Il ne faut également pas hésiter à utiliser des formulations qui appellent à une invitation pour un entretien. Si ce dernier vous est accordé, vous aurez plus de chance de vous faire embaucher.